Dans ton couffin tu souffrais en silence
Tes yeux triste implorant devant mon impuissance
Prés de moi tu as vécus vingt sept ans
Tu était un gentil chien discret charmant
Nos promenades nocturne tu les aimais
Apres avoir parcourus ensemble ce chemiin
La maladie insidieuse sournoise à mis fin
Cette scéne de tes derniers instants de vie
Alors que je croyez endormie
Soudain tu relevas la tête ton regard j'aie compris
Vers le royaume des toutous
mon Vidocq tu étais déjà partie.